la source

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Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins ce soir : je suis retournée à la source… La source ? Le loup quoi, je suis retournée voir le loup – z’allez pas faire les vierges effarouchées quand même (d’ailleurs, je me faisais la réflexion il y a quelques temps que, dans les contes, mes personnages préférés – ceux qui me faisaient frisonner de plaisir – c’était les loups, les ogres, les dragons et toute la ribambelle des méchants ; j’ai toujours trouvé les princes charmants très niais). Cette parenthèse est finalement un peu longue et mériterait d’être développée chez un psy mais là, je n’ai pas le temps.

Quoi, vous n’avez pas compris ? Ben, j’ai rempilé avec zou. Il se trouve que je suis plus heureuse avec que sans alors même si blablablabla et d’autres trucs, il faut que je me fasse une raison : on ne se refait pas. Je suis seulement moi et je suis faible – enfin, ma chair est faible.

Celles et ceux qui suivent savent que j’ai traversé un long long très long désert sexuel et en attendant de trouver mieux (pas sexuellement mais affectivement parlant), il se trouve que zou me convient parfaitement.

Je dirais même qu’on se complète bien de ce point de vue là. Evidemment, vous n’aurez aucun détail croustillant puisque ça ne concerne pas que moi mais disons qu’on s’éclate pas mal tous les deux. Et partant du principe qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien, et bien moi je dis, pourquoi pas, non ??!!

 

schémas et reproduction

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Deuxième article de la journée : et ben ça va tomber de la merde (comme dirait l’autre).

Je suis en colère contre moi-même. Je suis en pleine reproduction d’un schéma que je connais bien. Y’a pas, j’aime souffrir. Et je ne suis jamais tombée amoureuse d’un garçon qui ne m’aurait pas fait souffrir… C’est con mais jusqu’à présent, ça a toujours été comme ça. Je ne sais pas qui de la poule ou de l’œuf précède l’autre. Je ne sais pas si je tombe amoureuse parce que je souffre ou si j’éprouve le besoin de souffrir parce que je suis amoureuse.

Là, avec zou : tout va bien ! Et ben non, j’ai tellement envie de trouver le troisième mec de ma vie que je fais tout pour me persuader que c’est lui. Du coup, vu que ça va, il faut bien que je trouve un moyen de me torturer parce que sinon, je ne pourrais pas tomber amoureuse de lui. Putain que je suis tordue. J’en ai marre…

Ce mec, il a tout ce qui faut : il est honnête, il est indépendant, il a des amis, des passions, une famille qui l’aime et qu’il aime, il fait des trucs de sa vie… Et au lit, je ne vous raconte même pas comment je prends mon pied !

Ben du coup, ça va pas. Je ne peux pas seulement apprécier ce qu’il y a entre nous : je veux plus, je veux les sentiments qui me soulèvent de terre, je veux les doutes, je veux le putain de grand tremblement… et que ce soit réciproque en plus.

Je voudrais vivre sans amour – ce serait tellement plus simple – mais je n’y arrive tout simplement pas. Je me sens faible et je recommence à me comporter comme une pauv’ fille qui veut qu’on l’aime. Je me fais un peu  pitié…

[Et tout ça pour un jour où il n’avait pas le temps de venir me voir, pfffff. Ça promet (^_^)]

 

 

c’est comment qu’on compte

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Bon aujourd’hui je me pose une question de la plus haute importance – comme à mon habitude…

C’est comment qu’on compte pour trouver la date anniversaire d’une histoire ? La rencontre, le premier baiser, les premières galipettes, une date au hasard ??

Je sais que j’ai dit que zou et moi n’étions pas ensemble. Ouais ben n’empêche que bizarrement, on arrive toujours à grappiller du temps à droite et à gauche pour se voir – même pas longtemps – et que du coup, on se voit plusieurs fois par semaine (et on s’appelle quasiment tous les jours). Donc on n’est pas ensemble, mais bon mon cul c’est du poulet ou bien ?

Donc, c’est comment qu’on compte? Enfin, c’est comment que vous vous comptez ?

jusqu’ici

jusqu’ici

Jusqu’ici tout va bien et ça me fait un peu flipper ma race (comme disaient les djeunes il y a au moins 5 ans – c’est dire si je suis has been).

Bon je disais que jusqu’ici tout va bien. Ça va même trop bien cette histoire (je ne suis pas vraiment sûre que le mot soit bien choisi vu qu’on ne s’est pas dit (pas encore ?) qu’on était ensemble, on s’est même dit qu’on était « pas ensemble »). On avance tout doucement, et j’aime tout ce que je découvre… Il est où le lièvre, il est où le truc qui va me ramener sur terre ?

Je ne sais pas s’il a aussi peur que moi. Je sais que pour l’instant, il aime ça autant que moi. Il veut et ne veut pas les mêmes choses que moi – c’est moyennement clair comme phrase mais pourtant c’est bien ça que je veux dire.

Par exemple, je ne veux pas l’exclusivité (j’en ai à peu près rien à foutre qu’il couche avec d’autres filles ou pas) mais je ne veux pas que pour ça, on arrête de se voir.

Ça m’agace d’aimer être avec lui – enfin, ça me fait peur plutôt… J’ai peur mais j’aime ça.

Bon, ce petit week-end dans les Landes loin de lui avec d’autres gens, pour faire d’autres trucs que de toucher sa peau et de respirer son odeur… Je ne pense qu’au sexe, c’est chiant !!

Je disais donc : ce week-end loin de lui va sans doute me permettre de refroidir la machine – ou pas… Mais si c’est « pas », comment je vais faire ??