jusqu’ici

jusqu’ici

Jusqu’ici tout va bien et ça me fait un peu flipper ma race (comme disaient les djeunes il y a au moins 5 ans – c’est dire si je suis has been).

Bon je disais que jusqu’ici tout va bien. Ça va même trop bien cette histoire (je ne suis pas vraiment sûre que le mot soit bien choisi vu qu’on ne s’est pas dit (pas encore ?) qu’on était ensemble, on s’est même dit qu’on était « pas ensemble »). On avance tout doucement, et j’aime tout ce que je découvre… Il est où le lièvre, il est où le truc qui va me ramener sur terre ?

Je ne sais pas s’il a aussi peur que moi. Je sais que pour l’instant, il aime ça autant que moi. Il veut et ne veut pas les mêmes choses que moi – c’est moyennement clair comme phrase mais pourtant c’est bien ça que je veux dire.

Par exemple, je ne veux pas l’exclusivité (j’en ai à peu près rien à foutre qu’il couche avec d’autres filles ou pas) mais je ne veux pas que pour ça, on arrête de se voir.

Ça m’agace d’aimer être avec lui – enfin, ça me fait peur plutôt… J’ai peur mais j’aime ça.

Bon, ce petit week-end dans les Landes loin de lui avec d’autres gens, pour faire d’autres trucs que de toucher sa peau et de respirer son odeur… Je ne pense qu’au sexe, c’est chiant !!

Je disais donc : ce week-end loin de lui va sans doute me permettre de refroidir la machine – ou pas… Mais si c’est « pas », comment je vais faire ??

 

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10 réflexions sur « jusqu’ici »

  1. Je trouve ça « drôle » de se poser la question de l’exclusivité. Ce n’est pas une question qui me vient. Essayons…
    Aujourd’hui, je ne vois pas à quel moment la-femme-avec-qui-je-partage-beaucoup-de-ma-vie aurait la possibilité d’une escapade, à part un coup vite fait dans les toilettes de son boulot. Dimanche dernier entre 14h30 et 17h ? Étant donnée notre grande activité sexuelle, elle aurait une sacrée santé ! d:-)
    Elle va partir bientôt en vacances seule, là elle aura des possibilités. Bah… Je ne sais pas quoi en penser…
    Et moi ? Lui garderai-je mon exclusivité ? J’ai toujours dit toute ma vie que tant que je n’aurai pas une franche occasion, je ne peux pas savoir.
    Bref, cette question de l’exclusivité me semble très très secondaire. Que nous ayons dans nos garde-manger respectifs de quoi nous nourrir est beaucoup pluss important ! d:-)

    (J’ai bien lu que tu as précisé « Par exemple »…)

    Tu ne causes pas de ton exclusivité (ou non) à toi. Qu’en est-il ?

    • Disons qu’en ce qui nous concerne, nous avons le temps entre les moments où nous nous voyons de rencontrer, éventuellement, d’autres personnes. Et vu que le béguin a refait son apparition comme une fleur, il y a quelques jours… et que la tension sexuelle est de nouveau présente entre nous… bah euh, comment dire ? S’il s’approche, je ne reculerai pas.
      Je ne suis « fidèle » que lorsque je suis très amoureuse (et quand c’est le cas, je n’ai aucun effort à faire, je ne vois même pas les autres garçons) et pour que je sois amoureuse, il faut du temps (beaucoup de temps).

  2. Après un peu de disette, voilà que deux hommes sont présents (si j’ai tout compris) en même temps.
    La vie est surprenante.
    Je trouve ça cool pour toi cette fin d’été.

    • Surprenant, c’est le cas même si le béguin est toujours aussi « j’y vais ou j’y vais pas »…

  3. La peur fait parfois dire et faire bien des bêtises (dixit une ancienne mega trouillarde !) et du coup nous empêche peut-être aussi de nous laisser à vivre de belles histoires.
    Alors, je crois que c’est important de la reconnaître et de l’accepter pour mieux la contourner, voire la dompter.
    Il semble que tu aies su le faire… jusqu’ici et j’espère que tu parviendras à continuer à le faire 🙂

    • Merci Mia pour ce commentaire. Je crois que tu as entièrement raison : la peur nous empêche parfois de vivre des choses chouettes.
      J’ai décidé de ne pas l’écouter cette fois-ci. Et pour l’instant, ça continue à être chouette… Alors, je me laisse faire – tout simplement.

  4. J’aime assez bien ton questionnement, ta prise de tête m’amuse. Je ne te souhaite que du bon temps.

    Bleck

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