Jusqu’ici tout va bien et ça me fait un peu flipper ma race (comme disaient les djeunes il y a au moins 5 ans – c’est dire si je suis has been).
Bon je disais que jusqu’ici tout va bien. Ça va même trop bien cette histoire (je ne suis pas vraiment sûre que le mot soit bien choisi vu qu’on ne s’est pas dit (pas encore ?) qu’on était ensemble, on s’est même dit qu’on était « pas ensemble »). On avance tout doucement, et j’aime tout ce que je découvre… Il est où le lièvre, il est où le truc qui va me ramener sur terre ?
Je ne sais pas s’il a aussi peur que moi. Je sais que pour l’instant, il aime ça autant que moi. Il veut et ne veut pas les mêmes choses que moi – c’est moyennement clair comme phrase mais pourtant c’est bien ça que je veux dire.
Par exemple, je ne veux pas l’exclusivité (j’en ai à peu près rien à foutre qu’il couche avec d’autres filles ou pas) mais je ne veux pas que pour ça, on arrête de se voir.
Ça m’agace d’aimer être avec lui – enfin, ça me fait peur plutôt… J’ai peur mais j’aime ça.
Bon, ce petit week-end dans les Landes loin de lui avec d’autres gens, pour faire d’autres trucs que de toucher sa peau et de respirer son odeur… Je ne pense qu’au sexe, c’est chiant !!
Je disais donc : ce week-end loin de lui va sans doute me permettre de refroidir la machine – ou pas… Mais si c’est « pas », comment je vais faire ??