jusqu’ici

jusqu’ici

Jusqu’ici tout va bien et ça me fait un peu flipper ma race (comme disaient les djeunes il y a au moins 5 ans – c’est dire si je suis has been).

Bon je disais que jusqu’ici tout va bien. Ça va même trop bien cette histoire (je ne suis pas vraiment sûre que le mot soit bien choisi vu qu’on ne s’est pas dit (pas encore ?) qu’on était ensemble, on s’est même dit qu’on était « pas ensemble »). On avance tout doucement, et j’aime tout ce que je découvre… Il est où le lièvre, il est où le truc qui va me ramener sur terre ?

Je ne sais pas s’il a aussi peur que moi. Je sais que pour l’instant, il aime ça autant que moi. Il veut et ne veut pas les mêmes choses que moi – c’est moyennement clair comme phrase mais pourtant c’est bien ça que je veux dire.

Par exemple, je ne veux pas l’exclusivité (j’en ai à peu près rien à foutre qu’il couche avec d’autres filles ou pas) mais je ne veux pas que pour ça, on arrête de se voir.

Ça m’agace d’aimer être avec lui – enfin, ça me fait peur plutôt… J’ai peur mais j’aime ça.

Bon, ce petit week-end dans les Landes loin de lui avec d’autres gens, pour faire d’autres trucs que de toucher sa peau et de respirer son odeur… Je ne pense qu’au sexe, c’est chiant !!

Je disais donc : ce week-end loin de lui va sans doute me permettre de refroidir la machine – ou pas… Mais si c’est « pas », comment je vais faire ??

 

fin du défi

Lorsque j’ai commencé mon congé sabbatique (le 1er juin), je m’étais donné comme défi de publier un post par jour… Mais en fait ça me saoule. Et pis, comme c’est moi qui commande, j’ai décidé que j’arrêtais.

Dorénavant, ce sera quand j’ai envie.

Chuis contente parce que je suis sûre que comme ça, j’aurais plus de temps pour faire mes petites bidouilles sonores (que j’aime tant faire même si elles ne sont pas toujours réussies) – mais aujourd’hui justement, je n’ai pas le temps.

A bientôt donc (je pars dans les Landes demain, dans un endroit sans réseau téléphonique… et sans internet (^_^)).

 

zou

C’est tout nous ! A part que je ne suis pas vraiment blonde et que zou n’est pas franchement blanc (^_^).

Je viens de passer deux très belles journées avec Zou (ben ouais, c’est comme ça que je l’appellerai ici mais ce n’est pas ainsi que je l’appelle en vrai – dans la vraie vie, j’utilise son prénom, tout simplement) dans le centre Euronat.

Je ne sais pas quoi dire à part que c’était vraiment chouette et que j’ai aimé chaque minute passée avec lui…

Et là, je suis crevée alors je vais aller me coucher très très tôt (peut-être même tout de suite).

sur la plage abandonnée…

… par les touristes, je vais passer la journée et peut-être la nuit… en compagnie de E (oui, il faut bien que je lui donne un nom, je ne vais pas sans arrêt l’appeler le deuxième brun – ça pourrait être vexant). Mais « E », ça ne me convient pas. Le petit nom viendra avec le temps – si on se l’accorde (le temps). On verra. Pour l’instant, c’est un jour après l’autre, un pas à la fois. On n’est pas pressé. On verra. Quand on ne se voit pas, on ne se manque pas. Pas encore ? On verra.

in the mood for paint

in the mood for paint

Cela fait plusieurs jours que je côtoie pinceaux, pattes de lapin et autres récipients dont je ne connais pas le nom mais qui servent à rouloter et à essorer le rouleau avant de peindre (bon, je viens de vérifier, c’est tout con : c’est un bac plat à peinture).

Ça a commencé avec mon double rideau pour la chambre. Dans ma chambre, je n’avais ni rideau, ni double rideau et c’est vrai que l’hiver, l’air passait pas mal. Du coup, je me suis dis que j’allais me faire un double rideau. Après avoir cherché en vain un bout de tissu dans ma tissuthèque qui soit à la fois assez grand et d’une couleur qui se marrie avec le reste de la chambre, j’ai décidé de teindre en noir un vieux drap en lin et de le transformer en double-rideau. En fait, ça ne fait pas noir mais gris foncé mais du coup, je préfère et le lin teint, ma foi, c’est plutôt chouette.

N’ayant pas de tringle à dispo et n’ayant pas envie d’en acheter une, je me suis dit qu’au jardin collectif (j’ai des copines et copains qui partagent un grand jardin pas loin de chez moi), il y aurait sûrement des bambous qui feraient très bien l’affaire. C’est là que j’ai vu le beau brun (le premier) pour la dernière fois et que je suis rentrée chez moi avec un bout de bambou assez long pour se transformer en tringle.

Mais bon, le bambou brut, c’était bof et du coup, c’est là que ça a commencé, mon envie de peindre des trucs.

Après l’installation de la tringle peinte et du nouveau double rideau, ça me démangeait… J’ai donc peint la nouvelle porte que le proprio a installé la semaine dernière (des mois que j’attendais). Et pis ça me démangeait encore, du coup, j’ai repeint les chiottes mais je n’ai pas encore fini (reste la deuxième couche et puis, je vais agrémenter tout ça avec des rayures bleues).

Et si ça me démange toujours, j’ai encore des tas d’idées : mon armoire, une chaise, le couloir qui mène aux chiottes, la salle de bain…

Si y’a un psychanalyste dans la salle, j’aimerais bien qu’il m’aide. Qu’est-ce que ça veut dire cette envie de peinture fraiche ? C’est grave docteur ?

PS à l’attention des gens qui font des travaux chez eux pour qu’ils en prennent  bonne note (^_^) : je précise que c’est uniquement chez moi que j’ai envie de repeindre des trucs, pas chez les autres