I had a dream

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Oui les amis, j’ai fait un rêve  (faut dire que j’en fais souvent).

J’étais sur un très très gros bateau et je participais à une croisière de célibataires (si, si) . Et pis à un moment, il a fallu qu’on explique à tour de rôle pourquoi qu’on était là et ce qu’on cherchait comme partenaire.

Lorsque ce fut mon tour, j’ai dit que je cherchais un garçon qui ne faisait pas « ding, ding, ding à l’intérieur » (je cite les mots exacts de mon rêve). Je voulais dire par là que je cherchais un gars qu’était pas vide dedans, qu’avait des trucs à dire, un gars qui avait de la matière quoi !! Dans mon rêve, je n’ai pas eu à expliquer parce que tout le monde avait compris et se regardait d’un air entendu. Bref, après y’a une partie du rêve où tout le monde circule dans les couloirs du bateau et se frôle histoire de voir si ça serait possible de se mélanger – ça sentait la tension sexuelle à plein nez (genre comme dans un film de boules). Et pis moi, j’erre, je touche des gars (des beaux, des jeunes, des musclés) mais y’a rien qui se passe, je ne trouve personne.

Et là, je tombe nez à nez avec le Dr House (pas l’acteur, le personnage) et c’est comme qui dirait un coup de foudre réciproque. On ouvre la première cabine qui passe par là et je ne vous raconte pas la suite parce que c’est ultra-torride (et hum qu’est-ce que c’est bon de faire l’amour de nouveau – même en rêve). Je peux juste vous dire que je n’arrête pas de le toucher et de le sentir (woui, je suis une sentinophile – mot qui n’existe pas, je sais).

Bon OK, c’est débile comme rêve mais qu’est-ce que ça veut dire (mis à part que je passerais bien à la casserole avec le Dr House même si en vrai je préfère largement Chase) ?

Z’avez une idée ?

 

c’est reparti pour un tour…

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Je ne sais pas si c’est le soleil, le fait que je me sente d’un coup plus légère ou simplement les hormones mais purée de pois : j’ai envie de sexe.

J’ai même failli demander à un stagiaire qu’avait fini sa formation (je précise) et même que ce n’est pas un de mes stagiaires mais celui d’une collègue mais quand même je l’ai eu en cours… Bref, J’ai même failli demander à un jeune gars qui n’a ABSOLUMENT rien en commun avec moi… J’ai failli lui demander si ça lui dirait pas qu’on aille boire un coup, histoire de voir si on pouvait pas se mélanger, par hasard.

C’est quasiment animal, je le trouve séduisant mais pas séduisant genre j’ai envie de le connaître, de partager des trucs avec lui, de construire quelque chose comme on dit . Non, non rien de tout ça, j’ai juste envie de b__ser avec lui.

Bon heureusement, un soupçon de sens commun qui me restait dans un coin m’a soufflé de ne rien faire.

Ouf, on est passé à deux doigts du drame (^_^).

 

glurp

glurp

J’ai une vie tellement trépidante que je ne sais pas par où commencer.

Ah si !! Avant-hier, en rentrant du boulot, j’ai avalé une mouche. Pour de l’info, ça c’est de l’info, non ???!!!

Au fait, j’ai pris deux bonnes résolutions pour 2012 :

– réapprendre à BIEN nager le crawl (c’est-à-dire réapprendre à régler ma respiration sur mes mouvements)

– arrêter d’espérer qu’un prince viendra et que je ferai des galipettes avec lui (adieu béguins et autres chimères, j’ai décidé de rentrer dans les ordres – le souci c’est qu’il va falloir que je me mette à croire en dieu et ça, c’est pas gagné).

A pluch les amich’

 

 

 

entrefilet

entrefilet

ENTREFILET, subst. masc.
Court article de journal inséré dans le reste du texte, dont il est séparé par deux filets. (définition trouvée ici).

Comment ça se passe, vous, en ce moment avec cette luminosité digne d’un pays nordique ?
Moi ça va pas, je déprime grave. Même qu’hier j’ai failli pleurer au café (je suis rentrée vite fait pour pouvoir le faire chez moi, ouf…).
De toutes les façons, je pleure tous les noëls depuis toujours alors y’a pas de raison de perdre pas les bonnes habitudes…
Mais y’a pas que ça… Y’a la solitude ! Pas la solitude du style de quelqu’un qui ne verrait personne de la journée, non ! La solitude de quelqu’un qui n’est aimé par personne, la solitude de quelqu’un qui n’intéresse personne et qui est bien obligée de faire sa maline sur internet pour croire qu’elle a sa petite importance parce que dans la vraie vie, elle ne vaut pas grand chose (n’est-ce pas Buk’ ?).
Voilà, cet entrefilet n’est pas drôle et ne m’a même pas fait tellement de bien.

Bientôt la suite de la VRAIE gazette de décembre !

comment j’ai écrit à mon béguin

ecrit_beguin

 

Bon, tout le monde a voté (y’a même une jeune fille qu’a voté sur Hello Coton).

Donc, je commencerai la gazette par la rubrique Coeur en vous contant comment j’ai entrepris de déclarer ma flamme à mon béguin (celui dont j’ai déjà parlé plusieurs fois).

Commençons par le début : il y a quelques semaines, je reçois par mail une invitation à une soirée déguisée se déroulant chez mon béguin (qui l’avait sans doute envoyé à tout son carnet d’adresses). Et là, ni une ni deux, je me suis immédiatement dit : tiens, je vais y aller avec Fasol (mon futur coloc’ qui ne s’appelle pas comme ça mais je préserve son anonymat en employant ce subtil pseudonyme).

Faut dire qu’avec Fasol, ça fait quelques semaines qu’on se voit tous les vendredis pour boire des coups et bouger nos corps d’athlètes au son délicat de la musique qui passe dans ce qui est désormais NOTRE bar (dont je tairais le nom par soucis d’anonymat itou). Et comme d’un fait exprès, cette soirée devait se dérouler un vendredi.

Le jour J,  costumes enfilés, nous partîmes donc gaiement à cette soirée (tout en passant nous en jeter un rapidos dans NOTRE bar). Autant vous dire qu’on a fait sensation : Fasol en gothique déglingé et moi-même grimée en Maîtresse Magda (avec la cravache et tout et tout).

Evidemment à la soirée, j’ai vu mon béguin (ce qui est plutôt logique vu qu’il m’avait invitée). On a papoté un p’tit moment de choses et d’autres et pis Fasol et moi (et un autre trublion rencontré sur place) on a décidé que la musique était un poil trop forte (^_^) et on décidé, sur cet entre-fait, de retourner dans NOTRE bar histoire de bouger nos corps blablabla blablabla.

Là, Fasol s’est mis à discuter ferme avec une beauté qui passait par là et moi j’ai vite pris une espèce de cafard. J’ai donc décidé de rentrer sans attendre mon coloc’ qui dormait à la maison (en sachant qu’il retrouverait son chemin ; de toute façon, c’est tout droit).

Arrivée à mon logis, seule, désespérée par tant de solitude et saoule ce qui explique la suite : je me suis installée à mon ordinateur et j’ai écrit un mail à mon béguin en lui disant en substance que j’avais envie de l’embrasser chaque fois que je le voyais et ce, depuis qu’on se connaissait (c’est-à-dire quelques années déjà).

Au moment où j’ai appuyé sur « Envoyer », j’ai su que je faisais une connerie !!

Et pourtant, il m’a répondu…

Mais vous n’en saurez pas plus ! Et toc !!