Je ne sais pas d’où vient cette façon d’appeler les chiottes (est-ce un double wc comme des doubles vasques ?) et je vous jure que je m’en tamponne grave.
Depuis trois semaines j’ai deux wc – un à l’intérieur pour le pipi (mais pas possible de mettre le papier) et un à l’extérieur pour le popot (des toilettes sèches). Mon proprio est sur le coup !! Depuis trois semaines donc, date de mon premier coup de fil, j’ai enfin eu le bonheur de voir arriver deux plombiers ce soir à 18h30. Ils voulaient passer une caméra pour voir où que c’est-y que le tuyau d’évacuation s’est effondré. Mais la caméra, elle passe pas. Ils reviennent demain pour démonter le chiotte (celui de l’intérieur – le canal historique du chiotte en somme) et le proprio m’en remettra un autre (mais quand ? mystère et boule de gomme).
Coloc ? (c’est dans le titre) – j’ai été amenée à devoir partager ma maison avec une autre personne dont je ne dirais rien ici (de toute façon, je n’avais même pas d’argent pour déménager, il fallait bien que je trouve une solution). La cohabitation se passe…
Chauffard ? Ben oui parce qu’un bonheur n’arrive jamais seul ! Jeudi dernier en rentrant de la fac à allure normale sur ma voie bus/vélo et au vert, j’ai été percutée par la gauche par un chauffard poursuivi par la police pour délit de fuite (il avait déjà renversé une personne dans la journée et ne s’était pas arrêté). Bilan : entorse très sérieuse au genou gauche, ligaments croisés sans doute déchirés (mais impossible de voir quoi que ce soit à l’échographie tellement il y a de liquide) et problème au ménisque. Je suis immobilisée pour plusieurs semaines et il va sûrement falloir que je me fasse opérer.
Je passe sous silence (mais peut-être pas finalement, on verra un autre jour) ce qui s’est passé aux urgences où j’ai été conduite par les pompiers.
A part ça, tout va bien, il fait beau, je ne peux pas jardiner, je ne peux plus me déplacer (même pas en bus – trop haut) et encore moins aller boire un coup en ville…
Bon allez, faut que je me remotive. « Si seulement nous avions le courage des oiseaux qui chantent, dans le vent glacé » (je ne vous pas l’affront de citer ma source (^_^)).