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lettre à mon futur amour
J’ai écrit ce petit texte il y a plusieurs mois déjà, bien avant de rencontrer Jean (enfin si, techniquement je l’avais déjà rencontré mais cela avait été fugace…).
J’ai l’impression que ce que Jean me propose comme relation s’incarne exactement dans ce que je veux de l’amour. Alors, je ne sais pas ce qui va se passer pour nous dans le futur mais parfois, tout s’emboite si bien. Une copine m’a dit dernièrement qu’on traverse une grosse période de changement cosmique. Peut-être que les planètes se ré-alignent pour moi ou peut-être que c’est le hasard. Dans tous les cas, c’est bon.
Alors voilà,
Je te promets de me barrer
si un jour, égaré
tu crois que je t’appartiens
Je te promets qu’on ne se mariera pas
et qu’on n’aura pas d’enfants
T’avise pas de te cacher derrière des bouquets
ou des putains de diamants
Prépare toi
faut être grand et sûr de toi
Je te promets que tu dormiras tout seul
souvent et qu’il n’y aura
pas de déjeuner du dimanche
chez tes parents
Tu ne seras pas my one and only one
Et j’embrasserais qui je veux si je veux
Je n’veux pas que tu me rassures
Je n’veux pas que tu me protèges
Je te promets qu’on s’aimera loin
parenthèse
Entre parenthèses, le souffle est suspendu, le temps peut s’arrêter. On y garde bien au chaud de petits instants très précieux.
Ce qui est bien avec les parenthèses, c’est qu’on peut les ouvrir et les refermer un peu comme on veut, sans que ça perturbe tout l’équilibre de l’énoncé, ou alors juste un peu, histoire de synchroniser son rythme avec un autre rythme…
Je viens de vivre une très belle rencontre et ce qui va avec. Il est venu, il est reparti, il habite loin.
On se reverra c’est sûr, mais on ne sait pas bien quand…
Et je sais bien tout ça mais purée de pois, saloperie d’ocytocine de crotte de bique !!! Tu affoles mon cœur alors que non, non, non ! Pour plein de raisons c’est non !
Et puisque je pense que vous allez en entendre parler à longueur de posts (vous connaissez bien maintenant mes tendances midinettes), il faut que je lui trouve un nom… Appelons-le Jean, tiens ! C’est beau Jean, c’est doux et ça sent bon comme le bon pain. Et à l’envers ça sonne comme Ange.
Je ne suis pas sûre de faire aussi cucul la prochaine fois mais bon, je vous jure, je me soigne ! Comment ? Ben en buvant, pardi.