jesus camp

Si vous voulez flipper votre race grave, il faut que vous voyiez ce documentaire de toute urgence si vous ne l’avez pas déjà vu (sinon, ça enlève tout le sel de cette macabre découverte). Pour ma part, je l’ai vu à l’époque de sa sortie mais comme il est en visionnage sur Arte + 7 jusqu’à lundi 26 septembre (ou peut-être mardi), je n’ai pas pu résister !

Et pour celles et ceux qui seront vraiment en retard mais qui ont la télé, arte le re-diffusera les 29 septembre et 13 octobre.

Je vous jure que je ne suis pas payée par la chaîne (^_^).

Commentaire personnel sur le documentaire : Y’a pas à dire, y’a quand même de sales gros cons de par le monde. C’est vrai que laver le cerveau d’enfants qu’ont pas eu le temps de développer la moindre once de sens critique et qui sont donc très facilement manipulables, c’est quand même drôlement plus simple que d’engager des réflexions de fond avec des adultes !! D’ailleurs, la dame pasteur (« héroïne »  du film) le dit carrément.  Ces gens me dégoûtent.

Jamais de la vie, je n’essaierai de convaincre qui que ce soit qu’il a tord de croire en Dieu. La foi est un truc personnel et ne se discute pas. J’attends donc autant d’ouverture d’esprit des croyants envers moi qui suis athée convaincue (et qui ne doute pas plus que les croyants croient). Nul n’a le droit de s’ériger directeur de ma conscience (je le fais très bien toute seule). Ce qu’on voit dans ce film n’a rien à voir, selon moi, avec la foi ; il s’agit bel et bien d’un lavage de cerveau et de la mise en place de stratégies conscientes de manipulation à des fins politiques.

Sur ce, que Dieu vous garde (nan, je déconne).

 

happy happy

happy happyBon, je renoue avec la tradition de mon ancien blog avec la catégorie « le film du jeudi ».

Cet après-midi je vais voir Happy Happy d’Anne SEWITSKY (une norvégienne dont je ne sais rien).

Je vous dirais ce que j’en ai pensé. En attendant, vous pouvez voir la bande annonce :

 

ou lire la critique de l’Utopia.