D’habitude, je ne lis jamais de bd (ça me gonfle le plus souvent… même celles avec des super dessins… même les trucs desquels on me dit « mais si, ça tu verras, c’est trop bien, blablabla »).
Mais…
Un copain parti en vacances (et chez qui je passe de temps en temps pour mettre de l’eau dans les plantes) m’a laissé ça sur la table du salon (au milieu de quelques autres ouvrages et revues sympatoches) :
Ben, je vais vous dire la vérité : je l’ai dévoré en deux heures. C’est comme un écho qui vient de loin… Un truc qui résonne (et raisonne aussi) avec ma propre histoire, mais dans le désordre. Etrange…
Du coup, je sens que je vais finir à la bibliothèque pour dégoter les autres bouquins d’Ulli Lust.
Je change, je change. Je prends un sacré tournant. Faut que je fasse gaffe sinon je vais finir au festival d’Angoulême (nan, je déconne).