le PocketMod

pocketmodBon, vous allez me dire que je vais encore écrire des conneries !! Et ben, peut-être.

C’est quoi un PocketMod ? C’est une méthode de pliage de tout papier de type A4 et plus généralement de tout ce qui ressemble à un rectangle. A un moment, comme vous le verrez, faut plier le papier en quatre quarts ;-).

A quoi ça sert ? A tout, et entre autres, à ré-utiliser des feuilles écrites sur un seul côté comme un petit carnet de poche pour écrire des tas de trucs.

Comme cet article est un honteux resucé d’un vieil article du vieux blog, y’a pas de raison que je réécrive tout et donc, vous pouvez aller télécharger des modèles . Pouh, j’avais même fait une vidéo avec mes mains de l’époque (si, si). Si vous allez lire l’article en question, outre les fautes d’orthographe, vous remarquerez peut-être l’expression « disponible bientôt » qui revient plusieurs fois. C’est plutôt rigolo pour une page publiée le vendredi 27 mai 2011. C’est dire si ma tendance à ne pas tenir mes engagements ne date pas d’hier !!

Le site de référence est . Y’a une autre chouette vidéo qui permet aux plus maladroit.e.s d’entre nous de s’en sortir.

Et pof, un cadeau : un modèle que j’ai créé avec mes stagiaires lors d’une séance « gestion de l’argent et consommation » (mes stagiaires étaient jeunes pour la plupart et tous pauvres… on en reparlera bientôt – je tease à mort là).

Carnet des Dépenses

 

Avec Cristophe et sans doute beaucoup d’autres, je me lance dans le jeu des 366 Alphabétiques. Bon, vu que je me connais, je vais sûrement avoir des ratés (vous êtes donc prévenu.e.s et donc ce n’est pas la peine de me disputer quand ça arrivera !!!). Edit du 9 mars 2015 : c’est décidé, je vais le faire « à ma manière » ce défi c’est-à-dire que parfois je vais suivre la règle et parfois pas. Du coup, j’essaierai de rattraper au fur et à mesure les mots que j’ai laissé filer.

je fais du marie

marguerite

Bon et bien c’est fait ! Comme annoncé, je suis incapable de tenir le défi de l’article quotidien (y’a eu un temps que les moins de 45 ans ne peuvent pas connaître où des fois, j’y parvenais…).

Tant pis pour moi, je vais devoir caser les 4 mots en un seul texte. Et du coup, je vais vous raconter ma vie amoureuse : chouette hein, ça faisait longtemps !!

Je ne sais plus trop si je vous ai parlé de Jean (c’te bonne blague). Jean est mon amoureux et nous avons échangé notre premier baiser le 18 août 2014 sur une plage de l’océan atlantique. Je m’étais subtilement refusée à lui la veille chez moi où je l’avais invité à déjeuner, mais n’ai pas pu résister à sa proposition d’aller à la plage. Ma seule condition : que ce soit une plage de « tout nus ». Pas folle la bestiole, je voulais voir le gars dévêtu et dans la lumière avant tout. Et donc, je l’ai vu à poil avant de l’embrasser. Et bizarrement, ça a posé les bases de notre histoire d’amour.

Lorsqu’on a discuté de comment on voyait les choses entre nous, j’ai suggéré la transparence. C’est bien de tout se dire mais évidemment, on ne peut pas éviter les larmes. Il en a versé, j’en ai versé. Je n’ai pas tenu les comptes. C’est difficile la sincérité. C’est difficile mais au final, on y gagne (si, si, je vous jure). Et puis aussi, on n’arrête pas de se dire de belles choses parce que l’honnêteté signifie également qu’on n’a pas peur d’avouer qu’on s’aime, qu’on tient l’un à l’autre…

Un de ses premiers cadeaux a été un livre ; il me connaît quand même, il n’allait pas m’acheter des diamants (à part les vendre, je ne sais pas du tout à quoi ça sert ces trucs là). L’auteur : Boulgakov. Le titre : Le maître et Marguerite. Si vous ne connaissez pas, je vous conseille de le lire : c’est russe, foisonnant, délirant et foutrement bien.

Ensemble on parle de tout. Il n’y a pas de sujets tabous. Comme on ne se « protège » plus (c’est moche comme expression), on a même évoqué la possibilité d’une naissance. Cela faisait déjà plusieurs mois que mon avis avait changé à ce propos – l’idée d’un enfant avait commencé à faire son chemin dans ma petite tête de linotte (Jean n’a rien à voir dans le début du processus de changement vu que j’en étais arrivée à ces conclusions avant de le rencontrer). Celles et ceux qui me lisent connaissent mon peu d’attrait pour les enfants mais j’ai repensé à tout ça. Alors voilà, je n’ai pas de désir d’enfant ; toujours pas. Mais je sais aussi que dorénavant, je n’avorterais plus parce que bizarrement je me sens capable d’élever un enfant sans père. Dans l’éventualité où le gars n’aurait pas envie d’assumer son rôle, tant pis pour lui. Bon ! Il se trouve que Jean n’a pas de désir d’enfant non plus mais que si, par hasard et en considérant le fait qu’à 43 ans ma fertilité a du en prendre un coup dans les dents, je me trouvais enceinte, il serait d’accord (et heureux, waouh !!) pour vivre ça avec moi. Alors, on essaie quand même de faire gaffe et puisque – détail technique mais néanmoins croustillant – Jean est un garçon qui sait se con-tenir (hi, hi, hi), nous pratiquons le coït interrompu (le retrait donc) ;  méthode qui a quand même selon ce site québécois une efficacité réelle de 78% mais qui bizarrement , selon mes estimations personnelles, a donné des tombereaux de beaux bébés bien gras.

Je suis très heureuse avec ce garçon et pourtant, sur le papier, y’a pas une personne qui oserait parier un kopeck sur nous tellement nous sommes différents. Nous avons les mêmes envies et les mêmes valeurs mais rien de commun dans notre manière d’appréhender tout ça. C’est très étonnant. J’en parlerai sûrement un autre jour. Là, je suis chez lui. Il dort juste à côté de moi. Je le trouve beau. Son souffle régulier m’apaise. Je le réveillerai bientôt : ce soir nous dînons avec ses parents. J’ai un peu le trac mais j’ai hâte de rencontrer ces gens qui sont à l’origine de cet être si étrange que j’aime si fort.

ps. en ce moment, il n’y a pas d’audio parce que je ne suis pas chez moi et que je n’ai pas mes trucs à dispo mais ça devrait revenir la semaine prochaine

Avec Cristophe et sans doute beaucoup d’autres, je me lance dans le jeu des 366 Alphabétiques. Bon, vu que je me connais, je vais sûrement avoir des ratés (vous êtes donc prévenu.e.s et donc ce n’est pas la peine de me disputer quand ça arrivera !!!).

 

kaolin

Bon, vous l’avez sûrement compris, le mot du jour est kaolin mais comme je n’ai absolument aucune espèce d’inspiration et que ce mot me fait toujours penser à cette chanson des années 80 et ben tant pis pour vous !! En même temps, la dame de la pochette, on dirait bien qu’elle a mis du kaolin sur sa figure (pouet, pouet).

Avec Cristophe et sans doute beaucoup d’autres, je me lance dans le jeu des 366 Alphabétiques. Bon, vu que je me connais, je vais sûrement avoir des ratés (vous êtes donc prévenu.e.s et donc ce n’est pas la peine de me disputer quand ça arrivera !!!).

trop fastoche

Nous sommes en mars et le mot du jour est jardin. Pff, trop fastoche !!

Potager bio.

Avec Cristophe et sans doute beaucoup d’autres, je me lance dans le jeu des 366 Alphabétiques. Bon, vu que je me connais, je vais sûrement avoir des ratés (vous êtes donc prévenu.e.s et donc ce n’est pas la peine de me disputer quand ça arrivera !!!).

366-1

Avec Cristophe et sans doute beaucoup d’autres, je me lance dans le jeu des 366 Alphabétiques. Bon, vu que je me connais, je vais sûrement avoir des ratés (vous êtes donc prévenu.e.s et donc ce n’est pas la peine de me disputer quand ça arrivera !!!).

Depuis quelques jours, je me suis aperçue que je ne peux pas vivre sans toi. Que tout le reste, c’est des vraies conneries à deux balles. A croire que tout se ligue contre moi pour me faire regretter ma décision. Une vraie ignominie ! Tu as même réussi à convoquer le soleil !!

C’est vraiment dégueulasse de me faire ça…

Mais on va se retrouver, c’est sûr. Ça prendra le temps qu’il faudra. Je ferai ce qu’il faut pour que tu me prennes de nouveau dans tes bras.

Je suis là. Je t’aime, ma belle.

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