Entre parenthèses, le souffle est suspendu, le temps peut s’arrêter. On y garde bien au chaud de petits instants très précieux.
Ce qui est bien avec les parenthèses, c’est qu’on peut les ouvrir et les refermer un peu comme on veut, sans que ça perturbe tout l’équilibre de l’énoncé, ou alors juste un peu, histoire de synchroniser son rythme avec un autre rythme…
Je viens de vivre une très belle rencontre et ce qui va avec. Il est venu, il est reparti, il habite loin.
On se reverra c’est sûr, mais on ne sait pas bien quand…
Et je sais bien tout ça mais purée de pois, saloperie d’ocytocine de crotte de bique !!! Tu affoles mon cœur alors que non, non, non ! Pour plein de raisons c’est non !
Et puisque je pense que vous allez en entendre parler à longueur de posts (vous connaissez bien maintenant mes tendances midinettes), il faut que je lui trouve un nom… Appelons-le Jean, tiens ! C’est beau Jean, c’est doux et ça sent bon comme le bon pain. Et à l’envers ça sonne comme Ange.
Je ne suis pas sûre de faire aussi cucul la prochaine fois mais bon, je vous jure, je me soigne ! Comment ? Ben en buvant, pardi.
C’est un plaisir de t’entendre à nouveau ! (Audrey et Cristophe)
J’adore comment tu jures ! 😀 (Audrey)
Tu bois du thé ? (Cristophe)
@ Audrey et Cristophe : c’est un plaisir de reprendre la parole – à croire que Jean m’aide à ré-ouvrir les vannes (^_^) – c’est fou ce que j’ai envie de parler
@ Audrey : dans la vraie vie, je fais plus trivial et moins joli.
@ Cristophe : oui je bois du thé, mais aussi du vin rouge.
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