Il y a quelques jours, j’ai fait un drôle de rêve pas drôle. J’évoluais dans de grands immeubles en verre avec des japonais (ne me demandez pas pourquoi, je vous rappelle que c’était un rêve) qui étaient mes collègues de boulot. Je ne sais pas trop ce que je faisais comme job mais ça semblait être quelque chose de répétitif sans aucun sens mais avec des responsabilités. Bref, ce n’est pas le truc qui m’a le plus perturbé.
Non, ce qui m’a posé problème, c’est la suite. A un moment, je baisse les yeux sur mon torse et là, l’horreur, je vois ma cicatrice (qui dans mon rêve n’a pas la même forme que dans la réalité – la vraie est une ligne verticale boursouflée et dans le rêve, on était plutôt sur un T formé de traits fins) se mettre à suinter du sang. Elle ne me fait pas mal mais elle saigne de plus en plus et mes collègues japonais n’arrêtent pas de m’apporter des linges de plus en plus gros pour éponger tout ce sang qui bouillonne. Et là, je me suis réveillée un peu paniquée mais ouf, ma cicatrice était tout à fait la même que la veille. Aucune trace de sang ni rien de bizarre.
Alors voilà, si vous avez des connaissances en interprétation des rêves, je veux bien que vous me donniez des pistes.
En y repensant, ce rêve m’a rappelé plein de trucs et notamment un clip de Björk où on la voit écartelée sur une pierre plate, avec des trucs qui sortent de sa poitrine (je n’ai pas retrouvé le titre du morceau ; si vous l’avez, je suis preneuse). L’ambiance de ce rêve m’a également fait penser à une série que j’aime beaucoup qui s’appelle Severance.
Ton rêve est simple :
Ton sang, ce sont tes idées.
Tu as plein d’idées qui fusent.
Les Japonais, qui sont de grands et habiles copieurs, s’abreuvent de tes idées.
Tu n’es pas hostile aux Japonais ⇒ Tu partages tes idées.
Ce que tu as pris pour un T est en fait la croix du Christ ⇒ Tu es bienfaitrice de l’humanité en répandant tes idées, tes méthodes «simples et pratiques», etc ; tu es, ou aspire à être, ou te crois, une sauveuse !
Purée de pois ! Si ça se trouve, je suis la nouvelle messie de l’humanité… Merci Cristophe pour cette interprétation de haut vol ! Bon allez zou, j’y vais, j’ai des infidèles à convertir, moi (et c’est du boulot).