D’habitude, je ne lis jamais de bd (ça me gonfle le plus souvent… même celles avec des super dessins… même les trucs desquels on me dit « mais si, ça tu verras, c’est trop bien, blablabla »).
Mais…
Un copain parti en vacances (et chez qui je passe de temps en temps pour mettre de l’eau dans les plantes) m’a laissé ça sur la table du salon (au milieu de quelques autres ouvrages et revues sympatoches) :
Ben, je vais vous dire la vérité : je l’ai dévoré en deux heures. C’est comme un écho qui vient de loin… Un truc qui résonne (et raisonne aussi) avec ma propre histoire, mais dans le désordre. Etrange…
Du coup, je sens que je vais finir à la bibliothèque pour dégoter les autres bouquins d’Ulli Lust.
Je change, je change. Je prends un sacré tournant. Faut que je fasse gaffe sinon je vais finir au festival d’Angoulême (nan, je déconne).
Je viens de trouver ce livre sur le site de ma médiathèque, il est actuellement emprunté et devrait être de retour le dix août. J’y jetterai un œil, l’emprunterai peut-être.
Je viens de retourner sur le site de ma médiathèque et j’ai réservé ce livre (pas sage avec tout ce que j’ai déjà à lire…), comme ça je serai prévenu dès qu’il sera disponible et je n’ai pas à marquer ou à retenir le nom de l’auteur.
Je fais souvent ça aussi – du coup, je me retrouve avec des piles sur mon bureau…