Ce matin, je suis allée me faire écraser les seins (youhou !!). A priori, le radiologue n’a décelé aucun problème (ouf).
Ça m’a rappelé une discussion avec une de mes copines (qui se reconnaîtra si elle me lit).
Valérie (puisque c’est son prénom, vous vous en doutiez, hein ?!) a une technique vachement sympa pour faire face aux petites et plus grandes tracasseries du quotidien. Quand elle doit faire (ou qu’il lui arrive) quelque chose de particulièrement pénible, elle s’offre un petit ou gros cadeau.
Je trouve ça super parce que ça permet de neutraliser la valence de l’événement (-1+1=0).
Du coup, ce matin en sortant du centre de radiologie, je suis allée vite fait faire un tour dans une friperie pas loin et me suis achetée un petit haut. Mais comme ça ne suffisait pas et que je suis passée devant une crèmerie en rentrant, je me suis offert un morceau de Gorgonzola de la mort qui tue. J’en ai dégusté un morceau à midi… Mon Dieu qu’il est bon !
J’ai désormais un joli petit haut « Mammo » (et un morceau de Gorgonzola aussi mais vu qu’il sera vite mangé, ça ne compte pas). J’ai envie d’une jolie théière (il n’y en a pas dans l’appartement où je suis)… Je vais attendre la prochaine tuile ou le prochain épisode désagréable pour me l’offrir. Du coup, j’ai hâte (hi, hi, hi).
Evidemment, la taille et le type du cadeau peuvent être adaptés à l’ampleur de l’événement négatif.
Et vous, c’est quoi votre technique ?
Ce commentaire est consacré à l’écriture autofictionnelle (et aussi un peu à la pure fiction).
Je n’ai pas d’autre technique. J’achète un truc quand j’en ai plus que marre de cette société de consommation.
Ah, ah, ah. Je reconnais bien là ton esprit retors !
Pour un cambriolage, on a doit à quoi? 😉
A des gros câlins j’espère, à un remboursement rubis sur l’ongle de son assurance (j’espère encore) et à des litres de glaces caramel beurre salé (au moins)!
Des bises lointaines…