Attention, le post qui suit est absolument décousu et sans aucune importance (je vous aurais prévenu.e).
Depuis hier soir, une coccinelle a élu domicile chez moi (enfin, mon chez moi provisoire mais qui m’appartient – je sais, c’est bizarre). Je l’avais remarquée alors que j’allais éteindre la lumière après ma séance de lecture du soir. Et puis ce matin, pendant que je faisais mes comptes (une habitude du samedi matin, tout comme la sauvegarde ou encore le petit tour au marché), j’ai failli l’écraser en voulant saisir un feutre dans ma trousse.
Je suis en train de lire un super bouquin : SOS ménopause de Anna Cabeca.
Du coup, j’ai plein d’idées pour mon boulot mais surtout, j’ai un nouveau projet de test grandeur nature sur moi.
Ça me rappelle quand j’ai commencé ma thèse. J’étais encore super bordélique, je me jetais partout comme un canard sans tête et je me noyais dans un verre d’eau. A un moment donné, je me suis dit que ça suffisait les bêtises et que si je voulais réussir à la pondre, cette fichue thèse, il fallait que je devienne organisée. Du coup, j’ai procédé avec méthode (ah, ah, je vous ai bien eu !!). Pas du tout, je n’en avais aucune. J’ai simplement erré dans les bibliothèques et les librairies (ouais à l’époque, internet n’était pas la réponse à tout vu que ça ramait grave). J’ai écumé les rayons « Organisation et classement », « Économie domestique » et « Efficacité au travail ». Puis, j’ai lu, appliqué et testé sur moi-même toutes les méthodes d’organisation que j’ai trouvées (et que j’ai déclinées dans tous les domaines de ma vie ; c’est pour cette raison que vous pouvez encore trouver sur le blog des tas d’outils gratuits).
Vous vous doutez bien que ça m’a pris des mois et des années. Aujourd’hui, je peux dire que je suis devenue une vraie spécialiste de l’organisation, de la gestion du temps et du rangement (c’est d’ailleurs un des volets de mon entreprise). Les gens qui me rencontrent maintenant ne peuvent pas croire que j’ai été une jeune femme dispersée et qui manquait de structure.
Mon problème actuel (et c’est là où je voulais en venir) est un peu protéiforme. Il impacte plusieurs secteurs de ma vie, tout comme c’était le cas avec le bordélisme (mot inventé mais qui veut bien dire ce qu’il veut dire).
Ma ménopause me pose (ah, ah) des tas de problèmes physiques, psychologiques, émotionnels, relationnels et cognitifs. Je vais donc procéder avec méthode (et maintenant, je peux le faire !!) en attaquant mes difficultés sur plusieurs fronts (alimentation, sport, engagement social, thérapie…) et en documentant les effets des différents tests en vidéo et/ou en écrivant des articles (d’ailleurs, si ça vous intéresse, il y en a déjà sur ma chaîne youtube et mon site professionnels – ça vous fera une occasion de voir ma tête).
A part ça, j’essaie de développer mon compte instagram pro (décidément, je ne parle que de ça aujourd’hui !) et comme je ne sais pas quoi poster, je mets des citations que je trouve à droite à gauche. J’aime bien sourcer un peu et là, je suis tombée sur un os. Voici la bestiole :
Quand on cherche sur internet qui est ce fameux ou cette fameuse A. Schlaumich, on ne trouve rien (du moins dans les deux premières pages de google et pis après, c’est en allemand et je n’y comprends que couic). Quelqu’un.e pourrait-il ou elle me dire qui est cette personne ? Merci bien.
Bon allez, je vous laisse pour aujourd’hui. Des bibis
Ça ne va pas t’aider mais je peux donner des prénoms allemands :
– féminin : Annegret
– masculin : Anton
– féminin et masculin : Anke
Effectivement, ça ne m’aide pas beaucoup ;-). A force de chercher, je me demande si ce n’est pas tout simplement un fake. Bises