un rêve bizarre

Il y a quelques jours, j’ai fait un drôle de rêve pas drôle. J’évoluais dans de grands immeubles en verre avec des japonais (ne me demandez pas pourquoi, je vous rappelle que c’était un rêve) qui étaient mes collègues de boulot. Je ne sais pas trop ce que je faisais comme job mais ça semblait être quelque chose de répétitif sans aucun sens mais avec des responsabilités. Bref, ce n’est pas le truc qui m’a le plus perturbé.

Non, ce qui m’a posé problème, c’est la suite. A un moment, je baisse les yeux sur mon torse et là, l’horreur, je vois ma cicatrice (qui dans mon rêve n’a pas la même forme que dans la réalité – la vraie est une ligne verticale boursouflée et dans le rêve, on était plutôt sur un T formé de traits fins) se mettre à suinter du sang. Elle ne me fait pas mal mais elle saigne de plus en plus et mes collègues japonais n’arrêtent pas de m’apporter des linges de plus en plus gros pour éponger tout ce sang qui bouillonne. Et là, je me suis réveillée un peu paniquée mais ouf, ma cicatrice était tout à fait la même que la veille. Aucune trace de sang ni rien de bizarre.

Alors voilà, si vous avez des connaissances en interprétation des rêves, je veux bien que vous me donniez des pistes.

En y repensant, ce rêve m’a rappelé plein de trucs et notamment un clip de Björk où on la voit écartelée sur une pierre plate, avec des trucs qui sortent de sa poitrine (je n’ai pas retrouvé le titre du morceau ; si vous l’avez, je suis preneuse). L’ambiance de ce rêve m’a également fait penser à une série que j’aime beaucoup qui s’appelle Severance.

mini-voyage, tour des popotes, sud-ouest me (re)voilà

Dans une vingtaine de jours, je repars pour un gros mois sur la route, histoire de faire le tour des copains et des copines. Je commencerai par une semaine en Vendée à la fin du mois puis cap sur le sud-ouest, à Bordeaux évidemment mais aussi en Dordogne pour passer une petite semaine chez mes amis septuagéniaux.

A Bordeaux, j’en profiterai pour faire une visite de contrôle du camion (avant le contrôle technique) au Garage Moderne. Peut-être (s’il fait beau, c’est même sûr) que je passerai une petite semaine sur la côte Atlantique à me saouler de soleil.

Je remonterai par Saint-Flour pour causer boulot (parce qu’en fait, je ne suis jamais vraiment en vacances) avec une copine puis je ferai une mini pause à Clermont-Ferrand avant de rentrer chez moi.

La dernière fois que je suis partie, mon « voyage » tenait plus de la fuite que du plaisir mais là, j’ai bien l’intention de m’y prendre autrement. Déjà, je ne fuis rien ni personne. Je suis plutôt très heureuse en ce moment. Après 3 mois de travail intense sur mon site pro (repositionnement, design, migration sur un autre hébergement – et oui, pour le pro, j’ai enfin quitté OVH) dans mon studio de 15m2 sous les toits, j’ai seulement envie de changer d’air !

Je dois être de retour à Nevers début juin parce que j’ai des aller-et-retour à faire à Paris (pour des rendez-vous médicaux repoussés à cause de vous savez quoi) et que j’ai 3 jours de formation prévus depuis un bail (même si officiellement, je ne fais plus de formation en présentiel, je n’ai pas pu résister aux petits yeux implorants (je rigole) d’une de mes partenaires).

J’aimerais aussi participer pour quelques étapes au Tour de France Cyclo-Naturiste qui aura lieu dès le mois de juillet mais je n’ose pas vraiment prévoir à plus de 3 mois alors, on verra comment cela se passe.

Comme vous pouvez le constater, mes ambitions voyagesques sont limitées mais je suis sûre que ça va être génial.

Cette semaine, il faut donc que je m’occupe de faire monter mon pneu tout neuf sur ma jante de secours (la mienne étant voilée et le pneu pourvu d’une hernie magnifique parce que – ça arrive – j’ai pris un trottoir). J’en profiterais pour faire les niveaux et vérifier la pression des autres pneus. Pour ce qui est du matériel à emporter, je ferai ça la semaine d’après mais cette fois-ci, je ne prendrai pas le vélo avec moi. Enfin, je dis ça là maintenant et peut-être qu’au dernier moment, je vais le prendre quand même… Je ne suis pas très catégorique.