in the mood for paint

in the mood for paint

Cela fait plusieurs jours que je côtoie pinceaux, pattes de lapin et autres récipients dont je ne connais pas le nom mais qui servent à rouloter et à essorer le rouleau avant de peindre (bon, je viens de vérifier, c’est tout con : c’est un bac plat à peinture).

Ça a commencé avec mon double rideau pour la chambre. Dans ma chambre, je n’avais ni rideau, ni double rideau et c’est vrai que l’hiver, l’air passait pas mal. Du coup, je me suis dis que j’allais me faire un double rideau. Après avoir cherché en vain un bout de tissu dans ma tissuthèque qui soit à la fois assez grand et d’une couleur qui se marrie avec le reste de la chambre, j’ai décidé de teindre en noir un vieux drap en lin et de le transformer en double-rideau. En fait, ça ne fait pas noir mais gris foncé mais du coup, je préfère et le lin teint, ma foi, c’est plutôt chouette.

N’ayant pas de tringle à dispo et n’ayant pas envie d’en acheter une, je me suis dit qu’au jardin collectif (j’ai des copines et copains qui partagent un grand jardin pas loin de chez moi), il y aurait sûrement des bambous qui feraient très bien l’affaire. C’est là que j’ai vu le beau brun (le premier) pour la dernière fois et que je suis rentrée chez moi avec un bout de bambou assez long pour se transformer en tringle.

Mais bon, le bambou brut, c’était bof et du coup, c’est là que ça a commencé, mon envie de peindre des trucs.

Après l’installation de la tringle peinte et du nouveau double rideau, ça me démangeait… J’ai donc peint la nouvelle porte que le proprio a installé la semaine dernière (des mois que j’attendais). Et pis ça me démangeait encore, du coup, j’ai repeint les chiottes mais je n’ai pas encore fini (reste la deuxième couche et puis, je vais agrémenter tout ça avec des rayures bleues).

Et si ça me démange toujours, j’ai encore des tas d’idées : mon armoire, une chaise, le couloir qui mène aux chiottes, la salle de bain…

Si y’a un psychanalyste dans la salle, j’aimerais bien qu’il m’aide. Qu’est-ce que ça veut dire cette envie de peinture fraiche ? C’est grave docteur ?

PS à l’attention des gens qui font des travaux chez eux pour qu’ils en prennent  bonne note (^_^) : je précise que c’est uniquement chez moi que j’ai envie de repeindre des trucs, pas chez les autres

salade du jardin

Petite salade dégustée ce midi, constituée exclusivement de choses trouvées dans mon jardin (vous ne le voyez pas mais je suis fière comme Artaban). On ne peut pas faire plus local.

Dans le désordre :

– petites patates Roseval

– feuille de chêne

– bourrache

– tomate jaune Golden Jubilée (au débit, ça fait bizarre, on a l’impression qu’elles ne sont pas mûres).

– pourpier

Y’a que la vinaigrette qui n’est pas locale (même si le vinaigre a été fabriqué par le père d’une de mes amie – la moutarde, l’huile, le sel et le poivre viennent d’ailleurs, et sûrement de très loin).

Normalement bientôt, je me lance dans la fabrication de MA moutarde. Les quelques mètres carrés de moutarde que j’ai semé au printemps ont bien donné et sont secs désormais. Il ne reste plus qu’à récolter les graines et à me mettre à l’ouvrage. Je vous raconterai.

mon âne

!! Ceci est un concours !!

D’aucuns auront peut-être remarqué mon âne trônant fièrement sur ma terrasse de devant. Il était là quand je suis arrivée dans la maison et je n’ai pas eu le cœur de le renvoyer…

Le problème de mon âne c’est qu’il est un peu has been et qu’il faudrait donc le relooker.

Celle ou celui qui me fera la plus chouette proposition de relooking (réalisable en trois couleurs max et on peut mettre des trucs dans les petits paniers) gagnera une photo dédicacée de mon âne – relooké bien entendu et donc, plein d’entrain.

Voici les photos de l’âne tel qu’il est aujourd’hui :

 

Et une silhouette à me renvoyer sur mariesansimportance AT yahoo.fr coloriée par vos soins (vous pouvez aussi dessiner la vôtre qui sera sûrement plus mieux parce que celle-ci est toute petite).

J’attends vos propositions avec impatience et l’âne aussi (^_^).

suduku

suduku

Nan, y’a pas de faute dans le titre. Parmi les immenses difficultés que j’ai à surmonter en ce moment, y’a celui de la selle.

Ouais, quand on fait beaucoup de vélo et qu’il fait chaud et qu’on a une selle en plastique (modèle basique – le moins cher chez decathlon), et qu’en plus en est fournie en matière de fesses ; ben ouais, quand on cumule tout ça, y’a pas à tortiller, on suduku.

Et c’est assez gênant comme truc. Genre, si on porte une petite jupette en coton style kaki clair et ben après quelques kilomètres, quand on s’arrête on peut faire admirer à tous une superbe auréole de tissu mouillé. Et ça, j’avoue c’est la classe mais je m’en passerais bien.

J’envisageais depuis un bail de me confectionner un protège-selle. C’est fait !!

 

Maintenant, faut que je le teste pendant quelques jours histoire de m’assurer que ça frotte pas trop (à ouais, les frottements entre les cuisses, ça aussi c’est un problème) et que surtout, ça absorbe. Faut dire que je suis en pleine préparation de ma chevauchée fantastique môa !!

Ah oui parce qu’en fait, c’est décidé ce sera avec mon vélo !! Et oui, mon cher vélo qui totalise déjà 28 ans au compteur…

 

 

c’est pas tout ça

c’est_pas_tout_ça

Non, je ne fais pas un concours des titres de post les plus nuls du monde mais quand même, je dois avouer que je ne me casse pas trop la nénette…

Mais revenons plutôt à nos moutons.

Je n’étais pas chez moi ce week-end, j’étais ailleurs. La question est : où est-ce que j’étais à votre humble mais ô combien intéressant avis ?

Celle-lui qui gagne est celle-lui qui me donne la réponse la plus drôle – vu que la vérité j’m’en fous, je la connais.

Et qu’est-ce que vous gagnez ?

1. le droit d’être connu(e)

et/ou

2. un truc de mon choix que je vous enverrai si vous m’envoyez votre adresse

Et voilà, elle est pas belle la vie ? (nan, je déconne)