la différence

Je rebondis (mais vite fait parce que je vais éteindre mon ordi dès que j’aurais écris ce petit message)  sur un commentaire de Cristophe à propos de mon article précédent.

Non Cristophe, je n’ai pas DES béguins mais un seul. Et la différence réside dans le fait que parmi tous les garçons que je trouve attirants (et y’en a pas qu’un seul), seul mon béguin – pour l’instant – m’attire sur un autre plan. Je le connais assez pour savoir que nous avons des valeurs communes… et par ailleurs (et c’est le plus important), il a quelque chose en lui que je n’ai pas et qui me donne très envie qu’on soit plus proche – un peu comme si j’espérais que pas contagion, je parviendrais à atteindre ça…

Et c’est sûrement con de penser ça… mais tant pis. Tous les garçons qui m’ont fait vraiment chavirer dans le passé (Lui et le Lui d’avant – respectivement, 12 ans et 8 ans et demi de vie commune) avaient un petit quelque chose en eux que je voulais toucher du doigt, pas la même chose, chacun un truc différent et dont je manquais.

Mon béguin actuel a un truc en lui que je ne croise pas souvent… et j’en veux (^_^).

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4 réflexions sur « la différence »

  1. Grand merci pour l’explication ! Claire !

    Je ne trouve pas ça con du tout. Il y a quelque chose que j’envie et qui me manque chez la femme qui me charme actuellement, un exemple à suivre sur un point, je crois que j’en ai déjà pris de la graine et j’ai l’intention de continuer. Elle de son côté apprécie quelque chose qui vient de moi. N’est-ce pas commun de s’apporter l’un(e) à l’autre quelque chose ?

    • Woui c’est commun. Tu me sembles mûr pour tomber gravement amoureux, toi !!

    • Je ne sais pas bien comment définir ce quelque chose. Je vais tenter en sachant que ce sera incomplet parce que je ne suis pas sûre que les mots soient vraiment adaptés.
      Alors c’est :
      – une forme de bienveillance douce mais pas gnangnan
      – un calme olympien sans être mou
      – je ne l’ai jamais entendu mal parler à quelqu’un ou de quelqu’un mais il est capable de dire ce qu’il a à dire à qui il doit le dire
      Bon j’arrête là… En écrivant, j’ai l’impression que je vais trop en dire et que ça va se voir comme le nez au milieu de la figure que je suis piquée.

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