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Ayé les amis, j’ai trouvé ma nouvelle maison. Elle ne ressemble pas encore tout à fait à ce qu’on voit sur la photo mais j’ai bien l’intention d’arriver à quelque chose de ce genre avec des fleurs et des légumes un peu partout.

C’est une petite maison de poupée située dans une toute petite commune de 3590 habitants, à proximité d’une ville un peu plus grande (environ 10 fois plus) mais rien à voir avec ce que je connais ici.

J’avais fait des tas de piles de vêtements à donner pour déménager plus léger mais je vais devoir en extraire à peu près tous les pulls. Ben oui parce qu’en plus d’être plus pluvieux, l’endroit où je vais est nettement plus froid que Bordeaux.

Alors pourquoi j’y vais ? Je ne sais pas trop en fait, une espèce d’intuition que je vais devoir passer un peu de temps là-bas avant de partir pour mon grand voyage à vélo.

Et en plus, j’adore ma nouvelle adresse…

Et le boulot, me direz-vous ? Et bien le boulot, je m’en fous. J’ai candidaté à deux trucs : un truc bien payé mais pas très stimulant (dans le domaine de la formation) et un truc mal payé mais très stimulant (dans la culture). Je vais à un entretien pour le premier au début du mois de septembre, pas de nouvelles pour le deuxième.

On verra… Pour une fois que la question ne me tracasse pas, je profite.

Pour l’instant, je me concentre sur le déménagement (prévu pour fin septembre) et c’est déjà pas mal.

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7 réflexions sur « home »

    • @ Audrey : presque (^_^)
      @ Cristophe : le problème de la Normandie, c’est la crème fraiche – je vais finir obèse !!

  1. Wouaw… T’arrives à louer un logement sans contrat de travail ? C’est un coup de bol ou bien ?
    Pour le boulot, je plussoie mille fois. « On verra » est ze formule magique du bonheur ^^

  2. Ah évidemment comme ça c’est plus facile. Et c’est toujours comme ça que ça marche, en réalité.
    Mais en attendant, on continue à assommer les autres, ceux qui n’ont pas de relations et qui galèrent comme des pauvres diables, avec des faut avoir des rêves, on a rien sans rien, faut se bouger, là où il y a une volonté il y a un chemin, et autres mensonges de la sorte.

    • Euh… c’était une plaisanterie, je n’ai pas plus de relations que de beurre au cul (je suis un peu comme Georges Abitbol).

  3. Aaaah bon; mais pourquoi tu racontes pas alors ? Parce qu’en juillet c’était la grosse angoisse, et puis là, pif paf, en trois phrases c’est plié…

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